Chers amis lecteurs,
En ce mois d’octobre, nous sommes fiers de vous dévoiler une sélection de nouveautés riches en saveurs et en découvertes. Notre catalogue s’enrichit ainsi d’ouvrages dédiés à la chasse, à la nature, à la gastronomie et à l’art de vivre, reflétant notre passion pour la transmission de savoir-faire et la célébration des traditions. Parmi ces sorties, vous retrouverez des livres qui invitent à l’exploration, à la gourmandise et à la contemplation, parfaits pour vous accompagner tout au long de l’automne et pour vous permettre de préparer de beaux cadeaux à offrir ou à s’offrir à l’approche des fêtes.
Bonnes lectures,
Les éditions du Gerfaut
Cuisine
La grande cuisine de la chasse
Esther Ghezzo et Morgan Malka
Préface d’Olivier Nasti, Meilleur Ouvrier de France
50 recettes de gibiers à plume et à poil, inspirées des meilleures recettes du 17 au 19ème siècle, prenant racine à la fois dans la cuisine française mais aussi italienne ou espagnole. Il s’agit ici de retrouver l’esprit qui animait les gastronomes des différents siècles, au service des grands de ce monde en s’approchant au plus près des pratiques de chaque époque tout en assurant une faisabilité pour le cuisinier amateur du 21ème siècle.
Ces recettes sont sublimées par des photos exceptionnelles, réalisées en lumière naturelle avec un brio rarement atteint, qui mettent en scène les plats. Des natures mortes dignes des tableaux du Caravage, Snyders ou Chardin viennent ponctuer le livre pour composer un délicieux ouvrage, original.
Ce livre s’adresse aux épicuriens de tous horizons, mais aussi aux passionnés de gastronomie et de culture, tant française qu’européenne. Il est comme un objet précieux, un cadeau que l’on offrira à un passionné, un cadeau que l’on s’offrira. Un livre dense, profond et singulier mais pour autant gourmand et stimulant.
Vins
On peut rater sa vie, mais pas sa cave !
Basile George, cave Pinard à Nantes
Ce livre au style simple, abordable et décomplexé propose une nouvelle approche pour apprendre ou mieux connaître le vin : plus accessible, moins technique, et surtout plus digeste que de nombreux livres existants, qui peuvent parfois rebuter le lecteur. Il s’adresse avant tout à un public de néophytes et d’amateurs qui souhaitent s’aventurer en toute décontraction sur des chemins de traverse à la découverte des viticulteurs d’aujourd’hui, tournés vers des méthodes plus douces, de la vigne au chais.
Un ouvrage pour en apprendre beaucoup sur toutes les régions de France. En somme un compagnon et un conseiller pour construire sa cave en fonction de ses goûts et loin des poncifs sur les fameux « grands crus » trop souvent inabordables.
Nature
L’odyssée du brâme
René-Miguel Roland
Préface de Pierre Dubreuil, Directeur général du Domaine de Chambord
Le brame est au cerf ce que l’amour et la guerre sont à l’homme : un jeu de séduction, un enjeu de pouvoir. Pour perpétuer son espèce, l’animal ne saurait se contenter d’un banal accouplement. Il transforme la saison de son rut en un spectacle permanent où le cerf occupe le devant de la scène, au vu et au su de l’homme. Encore faut-il le dénicher ! C’est un athlète, un stratège, un combattant, un amant qui prépare son entrée, ses combats et ses déclarations d’amour, comme autant de plans de batailles, durant les longs mois qui précèdent l’automne.
Le brame lui offre la forêt comme royaume, et les biches, son harem de circonstance pour pouvoir assumer ses interminables ardeurs. A cette époque, on l’entend sans le voir, et quand on le voit, on ne peut être que saisi par l’émotion que dégage son allure, sa ramure et son chant.
Ses vocalises sont uniques, harmonieuses et complexes. Elles constituent un langage élaboré, dont il est, à la fois, l’auteur, le compositeur et l’interprète.
Le cœur du cerf est au brame, et le brame, au cœur du cerf.
L’auteur nous dresse là un plaidoyer, tout autant pour la bête que pour ses amours méconnues, abordant également l’univers sociétal et mythologique de celui qui reste, sans conteste, le Roi de nos forêts.
Ce livre dédié à l’Odyssée du brame, est le premier et le seul sur le sujet à se consacrer exclusivement au « cerf galant » sous un angle historique, littéraire et anthropomorphique. Il est l’éloge à l’amoureuse saison. Ce n’est ni un ouvrage scientifique, ni un livre d’images. Il est un mariage d’émotions et de raison.
Le brame lui offre la forêt comme royaume, et les biches, son harem de circonstance pour pouvoir assumer ses interminables ardeurs. A cette époque, on l’entend sans le voir, et quand on le voit, on ne peut être que saisi par l’émotion que dégage son allure, sa ramure et son chant.
Ses vocalises sont uniques, harmonieuses et complexes. Elles constituent un langage élaboré, dont il est, à la fois, l’auteur, le compositeur et l’interprète.
Le cœur du cerf est au brame, et le brame, au cœur du cerf.
L’auteur nous dresse là un plaidoyer, tout autant pour la bête que pour ses amours méconnues, abordant également l’univers sociétal et mythologique de celui qui reste, sans conteste, le Roi de nos forêts.
Ce livre dédié à l’Odyssée du brame, est le premier et le seul sur le sujet à se consacrer exclusivement au « cerf galant » sous un angle historique, littéraire et anthropomorphique. Il est l’éloge à l’amoureuse saison. Ce n’est ni un ouvrage scientifique, ni un livre d’images. Il est un mariage d’émotions et de raison.
Chasse
Traité de la fauconnerie
Volume 2 le bas-vol
Patrick Morel & al.
Voici le pendant du 1er livre paru en 2024 pour le haut-vol. Cet ouvrage, dédié au bas-vol, permet de découvrir d’autres branches de la fauconnerie sous la plume de spécialistes passionnés et maîtres dans leur domaine : l’aiglerie traitée par Franck Ibáñez et Jean-Louis Liégeois, l’esparverie par Julien Clunet-Coste, l’autourserie par Pierre Courjaret, Franck Tholliez et Philippe Vatan et la butéonerie par Serge Prévost et Serge Ooghe.
La chasse au vol est bien plus qu’un mode de chasse hors du temps, elle est un art millénaire qui incarne une relation extraordinaire entre l’homme et l’oiseau. Le « déduit d’oiseaux », comme on l’appelle, est un spectacle. Le fauconnier aspire à une communion avec la nature, à une forme d’art qui mêle la sauvagerie de l’oiseau et la sagesse de l’homme. Leur relation est une source d’émotions, de joies et de défis constants.
L’art de la fauconnerie est le fruit d’un long apprentissage, d’un respect profond et d’une complicité mystérieuse entre l’homme et l’oiseau. La fauconnerie est un mode de vie, une passion et un engagement : pour le vivant, pour le sauvage, pour l’authentique.